LAmant Imposé 04 La Métamorphose
LAmant imposé 04 LA MÉTAMORPHOSE
Angel, qui a renvontré Katte, sa meilleure amie, est mis au courant de la démarche de Franck son mari. Le couple se confie pour la première fois et malgré les tergiversions dAngel, Franck a bon espoir quelle accepte.
Une semaine après je téléphone à Katte pour savoir si mon épouse lui a donné son accord. En effet, celle-ci a eu une longue conversation avec son amie. Elle lui a expliqué ce que j'avais suggéré, de lui bander les yeux et même de l'attacher. Elle préfère cet artifice, ne voulant pas avoir l'air d'une femme pervertie auprès de l'homme qui la prendra.
De surcroît elle a demandé à Katte d'être présente dans son appartement ce jour-là, car elle a peur de ce qui pourrait lui advenir avec deux hommes disposant d'elle comme ils le veulent. Katte est ravie de se trouver présente, elle me dit qu'elle compte bien participer à nos ébats mais sans en avertir au préalable son amie. Je suis enthousiasmé par l'idée que le programme que j'ai suggéré s'annonce aussi bien. J'espère seulement qu'Angel ne craquera pas au dernier moment.
Lorsque la date est enfin arrêtée, je suis d'abord prévenu par Katte sur mon portable. Elle nous appelle le soir même à l'appartement. Lorsque Angel décroche et écoute son amie, elle devient pâle d'un seul coup et se met à trembler. Elle essaie d'argumenter, mais apparemment son interlocutrice ne lui laisse pas le choix et raccroche rapidement. À ce moment, elle se retourne vers moi et me dit en larmoyant.
- Oh ! Dans quoi vous m'entraînez tous les deux. ?- Je suis morte de trouille. - Jamais, jamais je ne pourrai me laisser prendre devant toi, quelle honte et Katte qui sera dans l'appartement. - Que va-t-elle penser de moi après. - C'est pour demain mon chéri et elle ne veut pas remettre à un autre jour, car l'homme qui doit me faire l'amour repart pour l'étranger le lendemain. - C'est un de ses anciens amants qu'elle a connu au Brésil il y a dix ans m'a-t-elle dit.
-
Allons mon amour. - Tu étais d'accord, il y a encore deux jours. - Tu sais bien que je serai avec toi. - Je te tiendrai la main et je serai le seul à t'embrasser sur la bouche. - D'abord tu vas être prise pour la première fois depuis quatre ans. - Une verge dans ton vagin qui va labourer tes chairs ma chérie. - Je suis sûr que tu vas jouir intensément. - En outre il est possible que je retrouve un désir qui a disparu et que mon sexe ne soit pas aussi mou comme il l'est encore à présent.
Ma tendre épouse finit par se ranger à toutes mes bonnes et mauvaises raisons et nous nous endormons tendrement enlacés. Le lendemain nous devons déjeuner tous les trois chez Katte. L'opération « Homme de Rio » étant prévue en fin d'après-midi, Katte n'a même pas voulu nous dire son prénom ni quel âge il a, ni à quoi il ressemble.
Angel fait sa toilette encore plus soigneusement que d'habitude, se trouvant naturellement pleines de défauts. Elle est trop grosse, elle a du ventre, ses seins sont trop volumineux et ils tombent un peu . Enfin tout ce qu'une femme peut dire pour se dénigrer et pour qu'on la rassure. Ce que je fais sans aucune hypocrisie, car je trouve qu'elle a encore un corps superbe et qu'elle est aussi très désirable.
D'ailleurs je m'aperçois que mon sexe a durci dans mon slip. Oh ! Rien d'extraordinaire, mais enfin je sens que je suis excité par l'offrande que je vais faire de ma chère et tendre à la queue d'un mâle qui va la baiser devant moi. Nous partons rapidement en voiture pour notre rendez-vous libertin, Angel restant prostré et ne disant pas un mot pendant tout le parcours.
Lorsque nous arrivons chez Katte, celle-ci ne peut s'empêcher de féliciter son amie sur son allure superbe et après quelques coupes de champagne qui réchauffent l'atmosphère, nous déjeunons de mets fins et épicés.
Celle-ci ne s'aperçoit de rien et c'est très détendus que tous les trois nous bavardons et évoquons quelques histoires grivoises. Angel n'est pas saoule, mais elle est tout de même légèrement éméchée, le mélange du champagne et du tranquillisant la rendant presque sereine.
Aussi elle se laisse déshabiller sans protester par Katte, qui tout en lui enlevant ses vêtements, lui caresse comme par inadvertance ses mamelons qui se dressent orgueilleusement. D'ailleurs, elle ne se gêne même pas en lui enlevant son slip, pour glisser ses doigts dans la fente vulvaire qui s'ouvre facilement sous ses doigts fureteurs, arrachant à mon épouse un gémissement de plaisir non dissimulé, bien qu'elle souffle à son amie.
Oh ! Que me fais-tu ? Tu es folle, je mouille déjà, je sens que je suis trempée. - Arrête je t'en supplie !
Katte lui enfile une nuisette en dentelle noire sur le corps, puis elle lui noue autour de la tête un foulard en soie noire, aveuglant ses yeux. Ensuite, la tenant chacun par un bras, nous l'entraînons dans la chambre où nous la faisons asseoir sur le lit. Elle tremble légèrement, son souffle est devenu court, son angoisse se perçoit. Elle doit imaginer ce qui va lui advenir sous peu.
Katte qui s'est absentée en hâte revient promptement avec deux bas en nylon. Nous attachons un bas à chaque poignet de mon épouse, puis nous lui demandons de reculer sur le lit et de s'étendre. Elle se laisse faire docilement, résignée à l'inévitable. Nous attachons l'autre bout du bas de chaque côté du lit, mais en laissant beaucoup de liberté au corps afin que les bras ne soient pas trop tendus pour éviter de la faire souffrir.
Ensuite je me penche sur ma femme que j'embrasse tendrement pour lui changer les idées et la préparer à ce que j'essaie de mener à bien.
Oh ! Katte que me fais-tu ? Non ! Je ne veux pas. Arrête je t'en supplie. Pas devant mon mari. J'ai honte ! - Franck dis lui d'arrêter. Oh ! Non ! Pas comme ça. Ooooh ! Oh ! Oui ! Continue. Non ! Arrête. Non ! Oui. Aaaaahh !.... Tu es folle arrête. Oh ! Non continue. Ah ! Vous êtes des monstres tous les deux. Oh ! Ouiiiii ! C'est bon - encore - encore. Ooooh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
J'en ai profité pour sortir de sa nuisette les deux gros globes de ses seins et pour gober ses mamelons tour à tour dans ma bouche, accentuant la volupté qu'elle ressent au gamahuchage de son amie. Angel est emportée par plusieurs spasmes avant qu'un orgasme fulgurant déferle en elle.
C'est à ce moment que la sonnette d'entrée retentit. Aussitôt Katte l'abandonne pour aller ouvrir à l'homme qui vient spécialement baiser mon épouse.
Angel reprend très vite ses esprits, comprenant que cette fois, elle ne va plus échapper à la pénétration qu'elle souhaite ardemment, mais qu'elle récuse aussi sous le prétexte de la bienséance et de sa honte à faire l'amour devant moi et sa meilleure amie. Car elle a bien compris que Katte allait assister au coït qu'elle va devoir subir, aveuglée et attachée sans défense devant le semblant de viol qui se prépare.
À cette pensée d'ailleurs, elle me le dira plus tard dans notre lit, elle na pu s'empêcher dêtre excitée de cette situation qu'elle ne pouvait contrôler, sentant son vagin se détremper par le jus qui coulait entre ses cuisses.
C'est alors que dans son affolement contradictoire à ce qu'elle espère et à ce qu'elle rejette en même temps, elle vient de sentir un organe mâle se glisser entre ses cuisses, puis brusquement une verge imposante s'enfoncer d'un seul jet dans sa gaine vaginale.
Son mari mêle sa langue à la sienne, l'embrassant profondément alors que son amie, dont elle reconnaît le parfum, lui suce et lui mordille les tétons. Elle a perdu toute décence, criant sa joie à se mélanger avec ces corps, ces bouches et ces doigts qui la font jouir autant. Bientôt le mandrin qui lui pilonne sans arrêt la matrice inondée l'emporte dans une fabuleuse volupté. Son corps tressaute sous les coups de boutoirs.
Elle n'en peut plus de jouir, elle halète à petits coups, gémissant de bonheur alors que son corps se couvre de sueur. Elle sent les odeurs enivrantes des deux hommes et de la femme qui lui font l'amour, mélangés à sa propre odeur. Ce n'est plus la femme qu'elle était il y a encore quelques instants, c'est une femelle en rut qui appelle les mâles à la curée.
Oh ! Oh ! Ooooh ! Ooooh ! Oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Aaaaahh !. Encore ! Encore ! Oh ! Oui ! Aaaaahh !. Encoooooorrrrrrr !..... Ouiiiii ! ncoooooorrrrrrr !..... Ouiiiii ! Aaaaahh !. Ouiiiii ! Aaaaarrrrrrrrrr....... Ouiiiiiiiiiiiiii.........
D'un seul coup, le corps arqué de mon épouse se détend et elle s'affaisse dans un délire comateux. La brusque tension qu'elle vient de subir vient de se rompre sous la phénoménale jouissance qu'elle vient d'éprouver. Elle reste étendue, largement offerte sous le corps qui reste soudé à elle. Nous reprenons tous trois nos esprits, respirant fortement après la folle chevauchée à laquelle nous nous sommes livrés
À suivre
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